Des premières recommandations de gestion des risques seraient émises fin 2011 pour le bisphénol A et fin 2012 pour quatre familles de perturbateurs endocriniens (les phtalates, les parabènes, les composés polybromés et les composés perfluorés) présents dans des produits de consommation courante et ce dans l’attente d’expertises complémentaires. « Si l’on décide, suite à ces travaux, d’interdire certaines de ces substances, cela suppose de disposer de substances de substitution sans risque, ou à moindre risque (…) », précise Xavier Bertrand.